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L’empreinte écologique est une évaluation de la pression qu’une population donnée exerce sur les ressources naturelles. Un calcul qui met en avant la thèse qu’il faudrait « plusieurs planètes » si tout le monde consommait et polluait comme dans les pays les plus industrialisés.
Premier cheval de bataille, l’eau potable : dans certains pays, l’eau vient à manquer, surtout celle que l’on peut boire chez nous, à même le robinet. Là où elle est plus jaune que transparente, il est tentant de ne consommer que celle mise en bouteille. Or, les objets en plastique sont reconnus comme une plaie monumentale pour la nature. Par chance, il existe des solutions pour s’en passer, comme ajouter un traitement pour assainir l’eau (pastilles désinfectantes, chloration, etc.). On devrait aussi tenir compte des ressources naturelles présentes, l’eau douce n’étant pas un bien illimité, surtout dans certaines régions du monde. La stratégie à adopter est de s’aligner sur les habitudes des locaux.
Même chose pour la nourriture. Préférez manger des fruits et légumes locaux. Privilégier une alimentation faible en matière animale (viande, poisson) est parfait pour affaiblir l’impact « durablement négatif » sur les sols et les eaux de surface. La production de viande est notamment responsable de 14,5% des émissions humaines mondiales de gaz à effet de serre. Eviter d’acheter les plats préparés et suremballés. Concernant le gaspillage, penser à prendre un contenant pour emporter ses restes. Laisser derrière soi des déchets peut avoir de fâcheuses conséquences sur le long terme.  Même internet a un impact : ses émissions carbone ont maintenant dépassé celles de l’industrie aérienne. Essayons donc de lâcher les réseaux sociaux le temps de profiter du voyage.
Enfin, les transports ont un énorme impact sur la biodiversité. Privilégier les transports en commun ou le train.
 

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